Théâtre Montmartre Galabru

Le théâtre Montmartre Galabru était Avant c’était le « Conservatoire Maubel », les plus grands venaient répéter ici : Michel Simon, Pierre Fresnay, Pierre Brasseur… ré ouvre ses portes avec un programme riche et varié à l’adresse suivante : 4 rue de l’Armée d’Orient (face au 53 rue Lepic) 75018 Paris.

Programme :

L’empereur des boulevards ou l’incroyable destin de Georges Feydeau : Reprise du 18/09 au 20/12 vendredi 21h30 et dimanche 18h30 (relâche du 20 au 29/11). Genre théâtre musical

Coming out : retour le 08/10/ 2020 les jeudi et vendredi à 20h.

 Tarif de 15€. Genre : humour

Cancre : du 17 septembre au 17 décembre 2020, les jeudis à 21h30. Genre : one man show

Le Bordel club : du 7 au 28 septembre, les lundis à 21h30. Genre humour

Synthèse : dès le 16 septembre, les mercredis à 21h30. Genre : drame d’anticipations avec scènes dansées.

Les rustres : du 3 octobre au 19 décembre, les samedis à 19h30. Genre : comédie classique

L’envie d’avant : du 14 septembre au 14décembre, les lundis à 19h30. Genre : contemporain drame

Y’a pire : du 15 septembre au 22 décembre 2020, les mardis à 21h30. Genre : one woman show

Le songe d’une nuit d’été : du 3 novembre au 15 décembre 2020, les mardis à 19h30. Genre : classique

Le journal fou d’une infirmière : du 18 février au 5 mai, les mardis à 20h00. Genre : sel en scène

Ciel ! mon dindon et on ne badine pas : prochainement

NDEYE ou « le bal des dissemblances » : les 17 ; 18 ; 19 septembre à 19h30 ; le 20 septembre à 16h00 ; 24 ; 25 ; 26 septembre à 19h30.  Samedi 3 ; 10 octobre à 21h30 et dimanche 4 ; 11 octobre à 16h00. Genre : comédie.

Pitch :

Rencontre fortuite en fin de soirée dans une Discothèque de deux personnages très
dissemblables. Ce qui devait être une rencontre d’un soir, voire d’une aventure passagère va
donner naissance à une véritable amitié.

Celle-ci va prendre la forme d’une collaboration dans un projet commun, le vernissage de
NDEYE. Il s’agit d’une comédie qui met en scène quatre personnages et dont le terreau se
nourrit du quotidien. La colère sociale, l’envie de bouleversements profonds voire de révolution.
Les allusions à des évènements historiques et politiques sont là pour porter des situations
comiques. Après le chant de la Carmagnole, c’est finalement un Empereur qui se fait appeler
Monseigneur et qui tiendra lieu de référence.

Cette complicité est source de renversements de situations, de changements de caractères.

Elle est, elle-même, une véritable révolution qui trouvera son apaisement en surplombant le quotidien et en s’inscrivant dans la durée pour devenir une véritable complicité d’âme.